-De nombreux articles parus dans la presse, entre autres
Télérama du 7 octobre 1981 dans un article d’une page intitulé : « Il faut sauver le château trois pièces cuisine » présente Victor Grazi, coffreur – cimentier d’origine italienne, ancien élève de l’école des beaux-arts de Rome et concluait : « Pour une fois, le béton s’est coulé dans la fantaisie et le mystère du rêve individuel. »
Dans “Journal de Montpellier” du 8 janvier 1986 :
« Il y a des lieux sacrés comme des personnes car ce sont eux qui donnent une âme à une ville en faisant que rien ne peut être semblable ou simple répétition. Non identifiables, en dehors de toute référence d’une histoire de l’art, on les appelle par manque de définition : art brut…
La « Villa des cent regards » appartient au patrimoine montpelliérain beaucoup plus que le théâtre qui n’est qu’une copie de l’Opéra de Paris, une place de la Comédie cernée par une architecture nordique, ou la place du Nombre d’Or qui s’inspire de la “plaza Réal” de Barcelone .
Cette bâtisse insolite a été construite par Monsieur Grazzi. Créneaux, tours, miradors lui donnent le merveilleux d’un château d’opérette. Dans ce lieu théâtralisé, Monsieur Grazzi y vécut particulièrement la fin de sa vie, cultivant sa vigne avoisinante et faisant son vin chaque année.
Lui disparu, la maison inhabitée commença à recevoir des visites de tous genres. Amoureux et clochards à la recherche d’un abri, mais aussi des architectes, des peintres, des écrivains, des cinéastes…. Ainsi en 1980 la revue “Energumène” y organisa une séance de lecture de textes. Étaient présents les écrivains Renaud Camus, Valère Novarina et Jean Vuarnet. De même en 1976, vingt architectes de Chicago établirent un dossier sur cette maison.
On la trouve répertoriée dans des livres sur l’architecture populaire. Bernard Lassus lui consacre un texte en 1974 dans “la Nouvelle Revue de psychanalyse”…
Ci-dessous vous pouvez accéder à quelques articles parus entre 1981 et 2021